
Gilbert Paillex est un explorateur suisse, surnommé le "chasseur de trésors du Léman". Cet autodidacte vaudois a dédié cinquante ans de sa vie à l'exploration des fonds du lac Léman à l'aide d'un robot sous-marin qu'il a conçu lui-même.
Voici quelques détails clés sur lui :
Explorateur et inventeur
Bien qu'ayant initialement une formation commerciale, puis d'informaticien, il a appris l'ingénierie et la technique sur le tas pour construire son propre robot submersible, le LEM01, capable de descendre jusqu'à 300 mètres de profondeur.
Découvertes majeures
Il est connu pour avoir découvert plus de 60 épaves et une douzaine de "trésors archéologiques" au fond du lac, incluant des bateaux, des wagons de chemin de fer et même un "mât flottant" des années 1930.
Surnoms
Les médias lui ont donné divers surnoms, tels que "notre commandant Cousteau à nous", "gardien des secrets lacustres", ou "l'œil du lac".
Travail
Il mène ses expéditions depuis son bateau, le Deep Eye II, partageant souvent ses découvertes avec le Musée du Léman et d'autres institutions. Il présente parfois son
exposition "L’Histoire au fond du Léman". Ses recherches et découvertes sont détaillées sur son site web.
Si vous êtes intéressé par son activité, vous pouvez prendre contact avec lui. Il se fera un plaisir de vous faire partager sa passion.
Christophe Cotting a réalisé plusieurs ouvrages et l'application "Swiss dive" pour appareils mobiles. Ceux-ci donnent toutes les informations utiles sur les sites de plongées en Suisse. Un recueil des explorations lacustres pour plongeurs débutants ou avertis qui veulent découvrir d'autres "horizons", sans se perdre dans les fonds vaseux sans intérêts...
Le Musée International de la plongée Frédéric Dumas expose au public des équipements historiques de plongée sous-marine, le plus souvent des objets uniques ayant été conçus par des inventeurs pionniers dans le domaine de la plongée.
Insolite au premier abord, ce musée témoigne pourtant d'une invention qui, au milieu du XIXe siècle, prend racine dans les entrailles de la terre, sous la forme d'un appareil de sauvetage pour les mines de charbon, et qui, transposé dans le domaine marin, va ouvrir le chemin de la plongée au XXe siècle.
Créé en 1980 en hommage aux inventions pionnières dans le domaine de la plongée des Aveyronnais Benoît Rouquayrol, d’Auguste et Louis Denayrouze, nés près des rives du Lot et d'Espalion, à plus de 200 km des côtes maritimes, il a été le premier d’Europe à se consacrer au scaphandre.
Ses collections se sont enrichies au fil des années par des acquisitions, mais aussi grâce à des nombreux soutiens du Musée Océanographique de Monaco, du Musée national de la Marine (dépôts), de la Marine Nationale, des sociétés COMEX, ex-Elf Aquitaine, Spirotechnique, Cristal et Lama, de la BBC de Londres, et également grâce aux familles Rouquayrol, Denayrouze et Piel, ainsi qu’à des professionnels émérites et passionnés.